L’ANGOISSE DE SÉPARATION

Dès le plus jeune âge, il est des séparations normales ou accidentelles qui peuvent venir troubler l’état psychique.

L’angoisse de séparation remonte à la petite enfance
où l’enfant n’a pas eu la possibilité d’exprimer sa peur avec ses mots
lors d’une séparation mal vécue
(une naissance difficile, le sevrage, le début de la collectivité,
reprise du travail de la maman, une hospitalisation, l’arrivée d’un nouveau né, le deuil…).

Lors de cet événement,  il a pu se sentir seul ou abandonné.
Il a pu croire perdre l’amour de son parent.

Cette blessure intérieure est inconsciente.
Elle peut être réactivée lors d’événements du quotidien
différents de ce qui a été vécu dans la petite enfance
 mais qui rappellent cette grande peur.

A l’époque, un noeud dans le cerveau a pu se créer,
dans le présent, la grande peur éprouvée
vient taper dans ce nœud,
plus ça tape, plus ça fait mal.

Mettre des mots sur les maux,
revenir sur l’origine de l’angoisse,
sur ce que l’enfant à l’époque a pu croire,
aider à classer ce dossier comme étant définitivement clos.

Cela redonne
Vie et sens à l’évènement d’origine,
Console et rétabli la vérité.

« Il va pouvoir classer dans le passé ce qui restait présent ».
Bernadette Lemoine (Psychologue et Vitozienne)

Ma pratique de la méthode Vittoz est spécifique au groupe GRVT (Groupe de Recherche Vittoz Thérapie) car nous associons à la méthode Vittoz le travail sur l’angoisse de séparation de Bernadette Lemoine, psychologue et Vittozienne. Je suis membre attaché de son association ( MCADS : Mieux Connaître l’Angoisse De Séparation) dont la spécificité est le travail sur l’angoisse de séparation.